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Le cycle menstruel : le comprendre pour mieux le vivre

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Vivre ses cycles menstruels en douceur...

De l’apparition des règles à l’adolescence jusqu’à leur disparition lors de la ménopause, une femme traverse en moyenne 450 cycles menstruels, ces derniers occupant ainsi une large moitié de sa vie.
Pourtant, nombre d’entre elles méconnaissent l’impact majeur du cycle féminin sur leur vitalité et leur vie sociale, familiale et professionnelle. Malheureusement, peu d’études soutiennent la visibilité de ce constat, pourtant bien réel.

Quelles sont les différentes phases du cycle ?

Quelles sont les 2 causes majeures aux désagréments ?

À quels moments peuvent-ils apparaître ?

Comment améliorer son hygiène de vie et mieux vivre ces nombreux cycles ?

 

Faisons donc ensemble le tour de ce cycle féminin; il n’aura (presque) plus de secrets pour vous. 

Les différentes phases du cycle menstruel

Le cycle féminin s’organise de manière simple et distincte, en 3 périodes phares, elles-mêmes divisées en 4 phases.

Les 3 périodes phares du cycle ovarien

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  • la phase folliculaire ouvre un nouveau cycle dès le 1er jour des règles et court jusqu’à l’ovulation. Elle correspond à la maturation du follicule ovarien. Lors de cette période, deux hormones en particulier jouent un rôle primordial : la LH et la FSH. Ce follicule dominant atteint peu à peu le stade de follicule pré-ovulatoire (il mesure alors environ 2 cm), aussi appelé follicule de Graaf. C’est lui qui, une fois arrivé à maturation au moment de l’ovulation, libérera un ovocyte. C’est la FSH sécrétée par l’hypophyse qui contrôle cette étape. Cette phase folliculaire dure +/- 14 jours et elle est dominée par la production d’oestrogènes;
  • vient ensuite l’ovulation, période très courte (2 à 3 jours) de libération de l’ovocyte qui sera potentiellement fécondé. L’ovulation correspond au moment où un ovaire libère un follicule de Graaf. Lorsque l’ovocyte rencontre un spermatozoïde dans l’une des Trompes de Fallope, il peut y avoir fécondation et donc une grossesse. S’il n’y pas eu de fécondation, l’ovule devient un corps jaune. Il va se désagréger durant son parcours vers l’utérus;
  • et enfin la phase lutéale, durant laquelle se forme donc le corps jaune. Sous l’action de la progestérone, la muqueuse utérine s’épaissit et se densifie pour éventuellement accueillir un embryon. Elle a pour vocation de recevoir la nidation et d’assurer la croissance de l’œuf. Il s’agit de la phasela plus stable du cycle; elle ne varie donc que très peu et dure 14 jours depuis l’ovulation jusqu’à l’arrivée des règles

C’est lors de cette phase que de nombreuses femmes ressentent des désagréments physiques et/ou psychiques et émotionnels (en lien avec le syndrome prémenstruel).

En cause : les variations hormonales plus importantes.

Ce que vous pouvez ressentir :

  • pertes vaginales
  • sautes d’humeur
  • douleurs dans le bas ventre
  • tensions mammaires
  • maux de tête
  • pulsions alimentaires et envies de sucre

Oestrogène et progestérone sont les hormones prédominantes de ces périodes bien distinctes; cela va permet de mieux comprendre leur impact physique et psychique tout au long du cycle féminin.

Les 4 phases représentatives du cycle menstruel :

une lecture plus symbolique

Nous vivons chacune le cycle à notre façon; pourtant, chaque phase a ses spécificités et elles sont partagées, universelles. Comme vu plus haut, pour nombre d’entre nous, leur traversée peut parfois s’avérer difficile et douloureuse, tant sur les plans physique qu’émotionnel et psychique. 

Je vous indique plus loin comment les harmoniser en prenant soin de vous, mais avant, je vous propose une lecture plus symbolique de ces différentes phases. 

Et si vous souhaitez découvrir un chouette livre sur le sujet, c’est par ici .

  • la phase menstruelle represente la toute première partie de la phase folliculaire vue plus haut; elle est aussi appelée phase contemplative ou encore phase de la Sorcière. C’est le moment du repli, du repos, celui où la femme est totalement tournée vers elle-même, ou du moins en a besoin. La saison correspondante est l’hiver, la nature se retire pour se reposer. Ainsi, à son image, le corps a besoin d’une pause pour se ressourcer en profondeur. Il ne peut le faire dans l’agitation. C’est le moment de s’écouter et d’accepter une certaine forme de vulnérabilité. Il est important de comprendre que plus nous prendrons ce temps pour nous, plus nous serons en forme pour le reste du cycle féminin.

   Quelques mots clés : repos, silence, s’abandonner, ralentir, réflexion, calme.

  • vient ensuite la phase préovulatoire, qui représente la seconde partie de la phase folliculaire, juste avant l’ovulation; elle est encore appelée phase dynamique ou phase de la Vierge. L’énergie qui domine est ascendante, elle circule à nouveau et la femme ressent un net regain de vitalité. Elle se tourne à nouveau vers l’extérieur tout en ayant le besoin d’ accomplir, d’organiser, de se projeter seule. Elle peut même déborder d’énergie, aucune barrière n’est infranchissable. Cette phase peut être la plus productive du cycle féminin. C’est le moment de reprendre une activité physique plus soutenue, d’essayer de nouvelles choses dans ce domaine puisqu’elle peut se sentir plus endurante. La saison correspondante est le printemps, celle où la nature renaît. Ce renouveau est donc propice pour planter les graines des plantes à venir, pour penser et/ou repenser ses projets. La liberté guide alors les pas de la femme, elle peut se sentir rebelle, sauvage, adolescente, et plus en lien avec ses envies profondes et secrètes. C’est le moment idéal pour se demander ce que nous voulons vraiment. C’est le moment où le taux d’oestogènes augmente à nouveau.

      Quelques mots clés : créer, oser, agir, renaissance, intention, confiance, ouverture, énergie,         affirmation, optimisme, expansion, liberté.

 

  • la phase ovulatoire prend la suite et ouvre la première partie de la période lutéale; elle est aussi appelée phase expressive ou encore phase de la Mère. L’énergie dominante est toujours ascendante et encore plus tournée vers les autres. En effet, la femme sent son corps changer subtilement, son ou ses désirs plus voluptueux. Elle enveloppe, épouse, prend soin. La saison correspondante est l’été, celle où elle a envie d’accueillir la chaleur, l’abondance. Tout le corps exprime une grande pulsion de vie, la femme rayonne. C’est dans cette phase qu’à l’excès, ce besoin de prendre soin de l’autre peut se transformer en devoir de le « sauver ». Prendre soin et aimer, oui, mais sans étouffer l’autre. C’est le moment où le taux d’oestrogènes diminue pour laisser augmenter celui de la progestérone.

      Quelques mots clés : communication, empathie, amour, partage, don, relations, abondance.

 

  • et enfin la phase prémenstruelle, la dernière phase de la période lutéale ainsi que la dernière du cycle, elle est appelée phase créative ou encore phase de l’Enchanteresse. L’énergie commence à décroître, avec malgré tout des soubresauts. La femme peut se sentir tiraillée entre l’envie inconsciente de son corps d’abriter un enfant et le renoncement à cela en redirigeant ailleurs son attention. Ces sentiments sont désagréables, inconfortables, d’autant plus que c’est la phase où s’exprime le syndrome prémenstruel (80% des femmes en souffrent). C’est le moment de faire un bilan, de ralentir et de se faire du bien pour traverser au mieux les zones de turbulences. La saison correspondante est l’automne, celle de l’entre-deux, de l‘instabilité. C’est une phase de transition et de deuil (qui se poursuivra avec les règles) et qui demande de l’attention, du calme pour avancer plus sereinement vers les menstruations. C’est le moment où les taux d’oestrogènes et de progestérone chutent progressivement.

    Quelques mots clés : intuition, écoute de soi, créativité, spiritualité, vie intérieur, introspection.

Prendre conscience du lien entre les énergies changeantes dans la nature et celles de notre propre cycle permet de relativiser les ressentis parfois inattendus qui émergent au détour d’une phase. 

La femme est un être cyclique.

Nous ne faisons pas « exprès » de ressentir ce que nous ressentons, notamment à partir de l’ovulation (c’est souvent à ce moment que les choses déraillent); nous pouvons en revanche travailler sur les déséquilibres en en déterminant les causes.

J’en ai priorisé 2, ce sont les plus récurrentes (même s’il en existent d’autres).

2 causes majeures aux perturbations du cycle menstruel dès la phase ovulatoire

Les oestrogènes jouent un rôle très important dans l’organisme :

  • régulation du cycle,
  • désir sexuel,
  • régénérescence des os,
  • hydratation de la peau. 

Elles sont principalement sécrétés en 1ère partie de cycle; on observe un pic de production au moment de l’ovulation, avant une chute brutale en 2e moitié de cycle pour laisser place à la progestérone. Ainsi dès l’ovulation, l’organisme subit une sorte de tempête hormonale.

Face à cette agitation, le foie sera déterminant dans la façon dont nous vivrons notre cycle. Son « état », c’est-à-dire sain et performant ou, au contraire, fatigué voire surchargé va donner le « la » de la symphonie hormonale.

Bon, parfois, elle dérape et devient un peu une cacophonie.

Voici pourquoi.

Le rôle d'élimination du foie

Rappelons tout d’abord qu’il fait partie de nos 5 émonctoires (organes d’élimination) parmi les poumons, le côlon, les reins, la peau

Il effectue un travail colossal de transformation des hormones (fabriquées à partir du cholestérol, oui, ce « méchant » dont nous avons tellement besoin) en vue d’être transportées via le sang aux différents organes et éliminées. Or, c’est justement cette étape précise de transformation et d’élimination, qui, si elle est défectueuse à cause d’un foie « fatigué », peut entraîner des risques d’augmentation du taux d’oestrogènes dans le sang, un déséquilibre de la balance oestrogènes/progestérone en faveur des oestrogènes, l’apparition du syndrome prémenstruel et, parfois, des règles abondantes. Les conséquences seront donc l’apparition de troubles physiques et/ou psychiques (ils sont généralement liés) et, à terme et plus grave, l’apparition de cancers hormonaux-dépendants.

Le foie est capable de détoxifier l’organisme « seul » quand il reçoit une alimentation saine, équilibrée, ajustée à nos besoins.

Mais il peut être saturé dans son fonctionnement lorsqu’il reçoit une alimentation inadaptée, trop transformée, trop grasse et/ou trop sucrée, trop d’éléments perturbateurs (pesticides, perturbateurs endocriniens, médicaments, molécules naturelles pouvant être nocives, surcharge de mauvaises graisses et de mauvais sucres, pilule…).

Prendre soin de son foie au quotidien devient alors un enjeu majeur d’équilibre et de santé.

Digestion et bonne santé du foie
Une bonne santé hépatique pour un cycle menstruel serein

Le taux de sérotonine

Et notamment son déficit, l’une des causes majeures des troubles en deuxième partie de cycle.

La sérotonine est le neurotransmetteur de la sérénité; sa diminution serait en lien avec la chute du taux d’oestrogènes à partir de l’ovulation et, par conséquent, responsable de l’humeur changeante et des envies sucrées (pour ne citer que les plus agréables…). 

Pourquoi ?

Parce que les œstrogènes jouent un rôle dans la fabrication de la sérotonine au niveau intestinal et cérébral. 

Oui mais comment ?

Grâce au foie qui entretient un rapport très étroit avec l’intestin; ce sont comme 2 vases communicants. Le foie renvoie vers l’intestin les produits de ses transformations, pendant que l’intestin fait la même chose avant que les nutriments puissent être correctement assimilés.

Le souci : les molécules mal transformées renvoyés par l’un et l’autre sont « récupérés » par les bactéries pathogènes à l’intérieur de l’intestin; elles ont la capacité de se développer à vitesse grand V, empêchant ainsi les bactéries symbiotiques, nos amies, de parfaire la synthèse des neurotransmetteurs, entre autres. 

C’est une donnée importante à connaître car sans la synthèse des neurotransmetteurs à partir d’un acide aminé, en l’occurence le tryptophane, notre l’intestin « bloque » une activation importante de sérotonine via le sang en direction du cerveau. 

Finalement, ça bloque en bas et en haut.

Ceci explique cela et, une fois encore, prendre soin de son microbiote est tout aussi important que prendre soin de son foie. Vous comprenez désormais mieux pourquoi.

Mais alors, comment remettre de l’ordre dans tout ça ?

Voyons quelques pistes essentielles, elles font toutes partie des fameux facteurs de santé, fondements de la Naturopathie.

3 pistes pour harmoniser le cycle féminin

J’ai choisi les 3 pistes les plus importantes mais il en existe d’autres, bien sûr, et complémentaires.

 

L'alimentation

L’un de mes piliers préférés !

Dans la mesure du possible, choisissez une alimentation saine, de saison, locale, la moins transformée possible (et par vous-même), colorée, variée, simple. Il est aussi essentiel d’adapter l’alimentation à son propre profil alimentaire. En effet, inutile de vouloir tous manger les mêmes choses, nos différentes constitutions ne tolèrent pas forcément les mêmes aliments ou habitudes de vie. 

L’équilibre s’envisage, sur plusieurs jours et, par extension, sur la durée. Il s’organise autour des 3 familles de macro nutriments : les protéines, les lipides et les glucides. Supprimer l’une de ces familles empêche les nutriments issus de la digestion (par exemple, les acides aminés pour les protéines et les acides gras pour les lipides, d’être correctement assimilés par la cellule). Les familles agissent en synergie; d’ailleurs, les enzymes digestives raffolent de ces synergies, si si ! Elles permettent tout simplement à l’organisme de rester en forme, d’aider chacun des systèmes à fonctionner correctement, notamment les systèmes endocrinien et hormonal, qui nous intéressent pour le sujet de cet article. 

Encore une fois, tous les systèmes sont en interconnexion permanente.

Variez le plus possible vos assiettes quotidiennes mais laissez aussi de la place aux imprévus, au plaisir, capital pour la bonne humeur ! 

À elle seule, l’alimentation participe grandement à soulager le travail hépatique et biliaire. 

Pour en savoir plus sur 2 plantes utiles à consommer à certaines périodes du cycle, c’est par ici pour l’onagre et par pour l’ashwagandha

Pensez également à vous hydrater régulièrement tout au long de la journée (quelques gorgées rapprochées sont bien plus bénéfiques q’un verre d’eau avalé au hasard). La déshydratation est d’ailleurs l’une des causes des troubles de l’humeur. Oui, pensez-y !

Assiette saine et équilibrée
Manger équilibré pour des cycles menstruels remplis de vitalité

Le sommeil

Il représente l’autre pilier de la santé et, de manière générale, de notre bien-être à travers 3 grands principes à respecter :

  • la régularité : l’heure du lever est plus importante à respecter que l’heure du coucher
  • la durée : calculer 49h par semaine
  • la qualité : c’est-à-dire un sommeil réparateur et régénérant.

En effet, avant d’être quantitatif, le sommeil doit être qualitatif. Dormir les 8 heures recommandées ne sera profitable que si le sommeil est profond et réparateur

Or, notre sommeil a perdu en quantité et quantité. Le problème est que, la nuit, notre organisme, lui, n’a pas de répit. D’ailleurs, c’est le moment où le foie détoxifie le plus. Il n’est pas le seul à travailler.De plus, la qualité de nos nuits dépend da la qualité de nos journées, et l’inverse est aussi incontestable. Nos rythmes diurnes et nocturnes sont dépendants l’un de l’autre.

Nous n’avons donc pas de mal à faire le lien entre des journées stressantes, voire épuisantes et des nuits d’insomnies, de cauchemars ou de difficultés d’endormissements.

La sérotonine pointe à nouveau le bout de son nez, particulièrement en fin de journée, pour nous préparer justement à un bon sommeil, doux, libérateur, réparateur… le rêve ! Elle représente le « frein » nécessaire. Pour être correctement synthétisée, elle a besoin d’un précurseur, le tryptophane (vu plus haut), un acide aminé que l’on trouve surtout dans les protéines animales et dans certains autres aliments végétaux, par exemple la banane ou encore dattes.

Une ou deux bananes au goûter, et c’est la garantie d’avoir un sommeil de qualité ! (notez le slogan…). 

Outre l’alimentation et un bon sommeil , l’organisme a besoin de mouvement à travers une activité physique adaptée, là encore, au profil de chacun ainsi qu’à la phase du cycle menstruel. 

Dormir pour se régénérer et harmoniser le cycle menstruel
Un sommeil de qualité pour un cycle menstruel harmonieux

L' activité physique

Je ne rentrerai pas ici dans les détails physiologiques des bienfaits de l’activité physique. Je souhaite simplement clarifier son impact sur les hormones et, par conséquent, son rôle dans la régulation hormonale.

L’activité physique régulière est essentielle pour contrer la production de cortisol, l’hormone du stress et libérer les bienfaisantes endorphines qui favorisent le bien-être.

De plus, la transpiration durant un effort physique (à adapter en fonction du profil, toujours), permet d’éliminer les toxines cumulées, et, bonne nouvelle, de soulager le travail du foie. 

Oui, il revient très souvent notre précieux émonctoire.

À nous de le chouchouter par différents moyens et grâce aux leviers évoqués plus haut, les plus faciles à maîtriser.

Bouger pour être en forme
Pédaler sur un joli vélo vintage...

Le cycle menstruel, un puissant levier de vitalité

Quel que soit notre parcours, notre histoire en tant que femme, la connaissance de soi, de son potentiel et de ses limites passe par la connaissance profonde du cycle menstruel, tant au niveau physiologique qu’émotionnel et psychique.

Les points à retenir :

  • chaque phase comprend ses spécificités ainsi qu’un type d’hormones en particulier:
  • le foie joue un rôle capital dans la transformation et la synthèse de ces hormones;
  • son rôle est aussi majeur dans leur élimination;
  • la sérotonine permet à l’organisme de se préparer au sommeil et au cerveau de maintenir une humeur et un appétit stables tout au long du cycle;
  • l’alimentation, le sommeil et l’activité physique font partie des 3 piliers de la santé et de celle de notre vie de femme.

Je suis convaincue que cette connaissance de soi, inscrite aussi dans l’inconscient collectif, permet à la femme de trouver sa place dans ce monde, avec confiance, courage et joie.

Une place qu’elle seule choisit. 

La santé, la vitalité passent par le respect et l’équilibre des lois de la vie.

Quelques citations inspirantes à méditer...

 » Nous connaissons tous l’adage qui dit que si nous voulons changer le monde, nous devons commencer par nous changer nous-mêmes. Mais si nous-mêmes changeons au cours du mois, cela signifie-t-il que le monde change lui aussi ? Oui. »  Miranda Gray, La femme optimale

 » La femme en quête d’elle-même lâche l’illusion de la dépendance, reprend la responsabilité de sa vie et marche pas à pas vers la connaissance de soi. La femme en quête que nous sommes prend conscience du pouvoir qu’elle porte en elle en sachant accueillir et recevoir dans toue sa puissance. La femme en quête se permet aussi de s’accueillir elle-même : s’étonner, se découvrir, se surprendre à être différente, inconnue, spontanée. »  Marianne Grasselli Meier, Rituels de femmes pour s’épanouir au rythme des saisons

 » Les larmes sont une rivière qui conduit quelque part. Elles entourent de leur flot le bateau qui emporte la vie de notre âme, viennent le soulever et l’entraîner hors des rochers, hors du terrain sec, vers un lieu nouveau, en endroit meilleur.  »  Clarissa Pinkola Estès, Femmes qui courent avec les loups 

 » La sagesse d’une femme est dans son corps, dans le rythme de son souffle et des cycles de son sang, dans le battement sauvage des désirs de son coeur. »  Lisa Citore

Vous me dites où vous en êtes de vos 450 cycles ?

Prenez soin de vous.

À très vite.

Magali 🌿

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